Au cinéma, l’auto-flagellation rapporte

Après celui de Cannes, c’est au tour du festival de Berlin de récompenser un film de la Nouvelle Vague roumaine. “Child’s pose”, de Călin Peter Netzer, exprime “la souffrance et le désespoir d’être Roumain”, explique un sociologue.
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Qu’est-ce qui distingue ces jeunes de ceux qui ont essayé de flouer l’Europe cinéphile juste après 1989, suivant le principe “temps nouveaux …. toujours les mêmes”? Ces enfants ont vécu les premiers pas de la transition, ils contemplent les plaies béantes laissées par le communisme, ils n’ont pas vécu les compromis. Ils vivent une réalité qui se déshumanise et érige l’égoïsme en valeur de transition.

Lire l’article de Vasile Dancu publié en roumain par Adevarul, et en français sur le site presseurop.

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